[apoptose ou mort cellulaire programmée] Les cellules détruisent les composants qui les maintiennent intacts et se tuent si elles estiment qu'elles ne sont plus nécessaires
Lorsque les cellules ne sont plus nécessaires, elles meurent avec ce que l'on ne peut appeler qu'une grande dignité. Elles démontent tous les supports et les contreforts qui les maintiennent ensemble et dévorent tranquillement leurs composants. Ce processus est connu sous le nom d'apoptose ou de mort cellulaire programmée. Chaque jour, des milliards de vos cellules meurent pour vous et des milliards d'autres nettoient le désordre. Les cellules peuvent aussi mourir violemment - par exemple, lorsqu'elles sont infectées - mais la plupart du temps, elles meurent parce qu'on leur a dit de le faire. En effet, si on ne leur dit pas de vivre - si on ne leur donne pas une sorte d'instruction active d'une autre cellule - les cellules se tuent automatiquement. Les cellules ont besoin de beaucoup de réconfort.
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Les gouvernements et les parlements doivent se rendre compte que l'astronomie est l'une des sciences qui coûtent le plus cher ...
Les marins avaient minutieusement cartographié les côtes des continents. Les géographes avaient traduit ces résultats en cartes et en globes ...

C'est l'idée que les gens qui vivent près de la nature ont tendance à être nobles. C'est de voir tous ces couchers de soleil qui le font. Vous ne pouvez pas regarder un coucher de soleil et ensuite aller mettre le feu au tipi de votre voisin. Vivre près de la nature est merveilleux pour votre santé mentale.
![[Extinction de l’expérience de nature] de génération en génération, les jeunes vivent de moins en moins en contact avec la nature](https://s3-us-west-2.amazonaws.com/bluesofy/__sized__/pic/topics/ff21cf9ce516437d9b2fb4ca9ec86e66-fit_width_resize_q20-30x0.gif)
Mais nous pouvons facilement étendre cette hypothèse [ndlr. que la nature a des effets bénéfiques pour le bien-être physique, cognitif et émotionnel des individu] à la conservation de la biodiversité. [Les écologues] parlent d’extinction de l’expérience de nature, qu’ils ont surtout appliquée en milieu urbain. L’idée est la suivante : de génération en génération, les jeunes vivent de moins en moins en contact avec la nature (parce qu’il y en a moins et parce que leurs modes de vie limitent ces contacts), au moment même où ils construisent leur identité. La part de leur identité qui intègre leurs relations intimes à leur environnement naturel diminuerait donc de génération en génération. Pas à cause d’un manque d’éducation, mais à cause surtout d’une baisse d’occasions et d’envies d’expérimenter la nature sans contrainte, librement et de façon personnelle.
Les conséquences de cette diminution apparaissent à l’âge adulte : avec une identité environnementale plus faible, ils sont moins en demande de nature dans leur vie quotidienne, ils l’intègrent moins dans leurs actions. (…) Or si nous ne tenons pas compte collectivement de la biodiversité dans nos modes de vie, alors nous allons en souffrir.


Un virus inefficace tue son hôte. Un virus intelligent reste avec lui.