Dans les entreprises, les jeunes sont plus intelligents. Ils sont en phase avec leur temps, tandis que les anciens n’arrivent pas à anticiper ce qui est en train d’arriver, donc incapables de s'adapter au changement
Mark Zuckerberg avait vingt ans quand il a fondé Facebook, et il dit un jour : « Les jeunes gens sont plus intelligents. ».
Peut-être que Zuckerberg avait raison. Bien sûr, l'expérience a de la valeur, mais je suis prêt à accepter l'idée que l'expérience peut aussi être un obstacle. Forbes et Newsweek étaient remplis d'anciens qui se moquaient d'Internet, ne le comprenaient pas et ne voulaient pas le comprendre. Ils étaient nostalgiques du bon vieux temps. Je ne pouvais pas les supporter. J'étais du côté du changement. Ces personnes avaient beaucoup d'expérience, mais leur expérience les empêchait de s'adapter.


Les derniers 10% représentent 90% du travail


La loi de Brook stipule que lorsqu'une personne est ajoutée à une équipe de développement et que le projet est déjà en retard, la durée du projet ne fera que ralentir, et non raccourcir. La loi de Brooks est reconnue applicable à tout projet complexe impliquant de nombreuses personnes qui interagissent ensemble, pas seulement pour le génie logiciel.


Nous devons entrevoir l'échec différemment.
Je ne suis pas le premier à dire que l'échec, lorsqu'il est abordé de la bonne façon, peut se révéler être l’opportunité de grandir. Mais la façon dont la plupart des gens interprètent cette affirmation, est que les erreurs sont un mal nécessaire. Les erreurs ne sont pas un mal nécessaire. L’échec n’est pas « mauvais ».
L’échec est la conséquence inévitable de toute nouvelle entreprise (et en tant que tel, devraient être considéré comme apportant de la valeur - sans lui il n’y aurait pas d’originalité en ce monde). Et pourtant, même si je dis qu’embrasser l'échec ...
Si vous donnez une bonne idée à une équipe médiocre, ils vont tout bousiller. Si vous donnez une idée médiocre à une équipe brillante, ils la réparent ou la jettent et proposent quelque chose de mieux.


Je crois que les meilleurs managers reconnaissent leur ignorance, non seulement parce que l'humilité est une vertu, mais parce que, tant que l’on a pas adopté cet état d'esprit, les avancées les plus marquantes ne peuvent pas avoir lieu. Je crois que les manager doivent desserrer l’étau, et non pas le serrer. Ils doivent accepter le risque, ils doivent faire confiance aux gens avec qui ils travaillent et s'efforcer de leur ouvrir la voie, ils doivent constamment avoir l’esprit ouvert, et enfin ils n’hésitent pas à s’engager vers tout ce qui pourrait susciter de la peur chez eux. Enfin, les ...