Rien n'est vraiment artificiel
Avec la première guerre mondiale, la grande révolution chimique a mis à disposition un quart de million de substances chimiques. Toutes ces substances étaient composées de 92 éléments chimiques régénératifs. Il s'agissait de comportements structurels complexes, autorisés par la nature. Elles n'étaient pas des substituts de la Nature, bien que beaucoup aient été appelées des substituts.
Encore une fois, pendant la Première Guerre mondiale, lorsque le grand programme de mobilisation des ressources a commencé, on a découvert que l'inventaire des substances chimiques connues de l'homme avait dépassé les deux millions. Mais beaucoup de ces substances étaient encore appelées « substituts » dans le Washington politique, administratif et militaire. Aujourd'hui encore, malgré le développement provisoire des connaissances fondamentales qui vont dans le sens contraire, on parle à tort de matériaux « artificiels », de « synthétiques », etc. Cette terminologie erronée repose sur l'idée que la nature a fait certaines choses que nous appelons naturelles, et que tout le reste est « fabriqué par l'homme », donc artificiel.
Mais ce que l'on apprend en chimie, c'est que la Nature a écrit toutes les règles de structuration ; l'homme n'invente pas les règles de structuration chimique ; il ne fait que découvrir les règles.
Tout ce que le chimiste peut faire est de découvrir ce que la Nature permet, et toutes les substances qui sont ainsi développées ou découvertes sont intrinsèquement naturelles.
Il est très important de se rappeler que
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Les gouvernements et les parlements doivent se rendre compte que l'astronomie est l'une des sciences qui coûtent le plus cher ...
Les marins avaient minutieusement cartographié les côtes des continents. Les géographes avaient traduit ces résultats en cartes et en globes ...

C'est l'idée que les gens qui vivent près de la nature ont tendance à être nobles. C'est de voir tous ces couchers de soleil qui le font. Vous ne pouvez pas regarder un coucher de soleil et ensuite aller mettre le feu au tipi de votre voisin. Vivre près de la nature est merveilleux pour votre santé mentale.
![[Extinction de l’expérience de nature] de génération en génération, les jeunes vivent de moins en moins en contact avec la nature](https://s3-us-west-2.amazonaws.com/bluesofy/__sized__/pic/topics/ff21cf9ce516437d9b2fb4ca9ec86e66-fit_width_resize_q20-30x0.gif)
Mais nous pouvons facilement étendre cette hypothèse [ndlr. que la nature a des effets bénéfiques pour le bien-être physique, cognitif et émotionnel des individu] à la conservation de la biodiversité. [Les écologues] parlent d’extinction de l’expérience de nature, qu’ils ont surtout appliquée en milieu urbain. L’idée est la suivante : de génération en génération, les jeunes vivent de moins en moins en contact avec la nature (parce qu’il y en a moins et parce que leurs modes de vie limitent ces contacts), au moment même où ils construisent leur identité. La part de leur identité qui intègre leurs relations intimes à leur environnement naturel diminuerait donc de génération en génération. Pas à cause d’un manque d’éducation, mais à cause surtout d’une baisse d’occasions et d’envies d’expérimenter la nature sans contrainte, librement et de façon personnelle.
Les conséquences de cette diminution apparaissent à l’âge adulte : avec une identité environnementale plus faible, ils sont moins en demande de nature dans leur vie quotidienne, ils l’intègrent moins dans leurs actions. (…) Or si nous ne tenons pas compte collectivement de la biodiversité dans nos modes de vie, alors nous allons en souffrir.


Un virus inefficace tue son hôte. Un virus intelligent reste avec lui.